Convaincue de la suprématie féminine dans toute sa splendeur, adepte des plaisirs SM et du plaisir en SM, la jouissance n'ayant d'intérêt que la douleur.
Je suis un homme soumis qui aime par dessus tout être au service d'une femme. Je ressens le besoin irrésistible d'être asservi et entraîné, amené aux sommets de l'esclavage.
Dès que Vous aurez la gentillesse de m'ordonner de Vous rencontrer, tous mes moments de disponibilité Vous seront dédiés. Vous êtes belle, Maîtresse, et la perspective d'être à vos pieds, nue, disponible, offerte, est déjà un plaisir que je Vous dois.
J'essaierai d'être digne de mon Souverain. Je te dirai combien tu es belle, combien tu es Femme, combien tu es maîtresse de mes sens. Devant Toi, je me sentirai toute petite, très humble, très impuissante. Avant Toi, je saurai que le sexe fort est la femme.
Je vous promets, Maîtresse, que cette chose, symbole palpable de la dépendance masculine, sera en pénitence jusqu'à ce qu'elle vous soit offerte, avec le reste, pour votre bon plaisir.
Divine Maîtresse, il sera si doux d'être à vos pieds, nue, totalement disponible, entièrement offerte, enchaînée en signe d'appartenance totale. Ce serait tellement cruel de ne pas pouvoir T'admirer immédiatement. Il sera presque insupportable de Te sentir à quelques mètres, à quelques centimètres et de ne pas pouvoir Te toucher, les mains liées derrière le dos.
Peut-être serez-vous sensible à mes supplications silencieuses et me permettrez-vous de poser humblement mes lèvres sur vos bottes et vos cuissardes et d'y déposer le baiser de soumission qui vous est dû.
Mon impatience, ma maladresse, mon indignité de petit mâle, ma désobéissance (involontaire, je le jure) provoqueront Ta colère. J'en ai très peur et déjà le frisson m'envahit de Ta colère, de Ta sanction et des terribles humiliations qui seront mon lot. Je subirai Ta condamnation avec ce mélange âpre de peur panique, de douleur aiguë, de honte absolue, de bonheur pervers et de profonde gratitude. Selon Votre bon plaisir, je serai Votre humble serviteur, l'objet de Vos plus viles commodités, exposé à Vos cruels caprices, entièrement à Votre merci.
Merci Divine Maîtresse pour Votre sévérité, pour Votre indulgence, pour Votre grâce.
A genoux devant Toi, Divine Maîtresse, je baise Tes pieds et je signe,